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Pièce Sombre :

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Salle des Archives :

Les films...
Qu'ils nous permettent de nous évader, qu'ils nous fassent rêver, rire, pleurer ou qu'ils nous irritent au plus haut point, ils sont l'émotion à l'état pur...
Alors Moa, je veux en parler, partager et avoir ton avis, Ô Hôte Curieux !

Quant à la lecture, plaisir solitaire, je découvre peu à peu que chacun recherche quelque chose de différent en ouvrant un livre... Quoi ? Telle est la question...
Je ferai ici un compte-rendu absolument pas objectif des livres qui se sont soumis à ma pupille...

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21 nov. 2012

This is the End

Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare, de Lorene Scafaria
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avec Steve Carell, Keira Knightley...
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8 août 2012
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Hé oui, dans l'avion, on n'a pas grand chose à faire, si ce n'est regarder la télé (les jeux, ça rame de trop, et des fois même, ça fait planter l'ordi, alors nous voulons éviter ça à tout prix... ahem...) Et je mets l'affiche en anglais, parce que je l'ai vu en anglais, et pis c'est tout !
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Ô Hôte Habitué, tu connais ma passion, non, fascination parfois inquiétante pour tout ce qui touche à la fin du monde. Ce qui n'est guère exact, car fascination il y a pour tout ce qui touche l'après fin du monde. Mais pour avoir un après, il faut bien y avoir un fait. Forcément donc, avec un titre pareil, il ne pouvait qu'attirer mon attention. Il méritait mon attention, devrais-je dire ! Et il l'a eu. Même avec l'autre pouf en actrice principale, j'ai fait abstraction, je me suis dit : "Fort bien, il y a la Keira Knightley et son air de *$#&*##, je vais faire abstraction, car la fin du monde est bien plus intéressante qu'elle."
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Oui, je suis la Sagesse incarnée.
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Et j'avais bien raison ! On ne le dit pas assez souvent, que j'ai raison, alors je préfère l'inscrire à l'écrit, pour que chacun le sache. Si j'avais écouté mon dédain, je serais passée à côté d'un grand film.
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Et si l'apocalypse avait lieu dans 15 jours ? Que ferions-nous ? 
Déjà, je trouve que cette question est magistrale. Un peu morbide, certes, mais essentielle, puisqu'elle révèle, je pense, ce que l'on est au fond de nous, nos priorités, nos vies...
Certains préféreraient regarder tes jolies pêches blancheuh comme le dit la chanson, d'autres font la fête, se saoulent et tentent les orgies, comme dans le film, mais d'autres encore, nos héros, veulent passer le peu de temps qui leur reste pour être avec les êtres qui leur sont chers...
Ils font ce qu'ils n'ont jamais osé, et cela leur fait du bien, leur affirme qu'ils sont vivants, et qu'il faut célébrer la vie tant qu'elle nous appartient, car c'est bien là la seule chose qui nous appartient vraiment. Ce qui amène une autre interrogation, celle de savoir si la vie que l'on mène tant qu'on n'est pas menacé nous sied vraiment... ???
A méditer.
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Pour Steve et Keira, qui ne se connaissaient pas au début du film, il s'agit de retrouver l'amour perdu du premier, je te passe les dédales des détails. Elle, est complètement cinglée, psychotechniquement atteinte, et la rigidité de son homologue va créer une sorte d'équilibre entre eux. Ils vont se soutenir dans leur quête identitaire. Ils vont croiser toutes sortes de gens, qui ont prit la nouvelle d'une mort prochaine et certaine de plein fouet, comme tout le monde, et qui réagissent différemment. Les règles sociales n'existent plus, le monde non plus n'existe déjà plus, ne reste que toa, et ta petite sphère, et ce que tu compte faire du Temps, encore et toujours Chronos, qui te reste.
C'est beau.
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Ici, Bruce Willis n'a rien pu faire, on ne l'a même pas appelé, à ma connaissance. Point d'effets spéciaux où tout pétarade dans tous les sens. La fin arrivera, mais nous ne serons plus là pour la contempler.
Magistral.
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Ce n'est peut-être pas l'après fin du monde tant désirée, mais c'est une histoire d'humanité d'avant la fin, et ça, ça m'émeut.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Every single participant observed rewards throughout the review.



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